Le Fourneau, Carnets de Voyage
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Récépissé du bordereau hebdomadaire de la semaine des sept premiers jours

vendredi 7 novembre 2003, par D.L et G.L, envoyés spéciaux en PPPP pour le PIAF de la MGH (Date de rédaction antérieure : 7 novembre 2003).

Voici maintenant une semaine que les deux ambassadeurs du PIF ont commencé à fouler le sol du continent africain tout en posant le pied sur la terre ferme. Voici quelques nouvelles en guise de bref résumé.

« Après une première contrariété en terme de désagrément tracassant qui nous a causé bien des soucis à l’aéroport d’avion du général de Gaule, (cf pièce jointe en attachement), notre premier parcours fut agréable tout en étant fort sympathique.

(Vidéos malencontreusement perdues)

Une charmante hôtesse aérienne nous permit d’obtenir quelques bouteilles de vin de vigne à discrétion et à volonté. Il faut savoir qu’en altitude les inconvénients négatifs modifient leur transformation en se changeant pour devenir des avantages positifs qui projettent les consommateurs dans une léthargie qui les endort dans leur sommeil.

Quelques heures plus tard l’atterrissage au sol nous indiqua que nous étions arrivés à destination : Nouakchott, Mauritanie, Afrique.

Malheureusement une de nos valises de bagage manquait à sa présence et son absence sur le tapis roulant nous prouva très vite qu’elle ne répondait pas à l’appel : Il s’agissait d’une machine à coudre automatiquement la couture que notre directeur Mr Romet nous avait demandé de remettre à un ami de sa connaissance qui résidait en habitant St Louis du Sénégal et dont le métier d’enseignant de couture était la profession. Après de longues palabres sous forme de discussion langagière le chef de la responsabilité des bagages égarés (qui était le directeur des valises perdues) nous rassura en nous donnant confiance. La machine à coudre automatiquement la couture était restée à Paris : Ouf. Cette fin heureuse clôturait le premier épisode en l’achevant de façon positive.

(Vidéo malencontreusement perdue)

Le directeur en chef Mr Chapelle put alors nous accueillir à bras ouverts en nous souhaitant la bienvenue sur le continent africain et en nous tendant les bras, il nous conduisit au CCF en nous y emmenant. Plus tard Diara (notre hôte d’accompagnement) nous guida dans la ville de la capitale de Mauritanie en nous faisant découvrir les différents marchés de commerce : là nous pûmes constater en le découvrant combien la population locale d’autochtones aurait besoin du soutien de l’aide de nos services.

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pub pil 2000 nouackchott

En effet il nous apparut en nous sautant aux yeux que les taches ménagères des besognes quotidiennes de chaque jour leur posaient des problèmes en terme de difficulté, qu’il s’agisse des travaux domestiques de la maison ou du labeur quotidien dans les foyers, et que la modernisation de la vétusté s’imposait comme une évidence.

Nous avons donc convié en l’invitant un groupe d’une demi centaine de représentants locaux à venir assister au nombre de cinquante à la toute première présentation des accessoires d’ustensiles de la maison M.G.H. Cette démonstration fut plébiscitée comme un véritable succès et le Pil 2000 , le pilon de l’an 2000, s’avéra être tout à fait à la hauteur de sa réputation notoire de « Le couteau suisse de la brousse ».

Nonobstant l’absence de commandes fermes voire même de promesses d’achat, quelques vifs encouragements agrémentés de vigoureuses poignée de mains nous conduisirent vers la seconde étape de notre mission de PPPP : St Louis du Sénégal. Nous atteignirent la ville sans encombres , mise à part la traversée du fleuve ou le capitaine du pilotage du bac, sans nous attendre, nous oublia sur une rive, emportant à son bord le chauffeur de véhicule qui était notre pilote, nos échantillons de présentation, et la cargaison de valises de nos bagages personnels.

Par voie de conséquence nous dûmes de fait louer une pirogue, (sorte d’embarcation flottante traditionnelle) pour traverser le fleuve Sénégal ce qui nous permis de rejoindre l’autre rive qui se trouvait en face de nous et de retrouver notre bien. Plus de peur que de mal !

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Des pirogues

Arrivés à St Louis nous déposâmes nos bagages, valises et autres effets de voyage dans les chambres de repos numéros 104 et 108 du célèbre Hôtel mythique bien connu de l’Hôtel de la poste quasi légendaire, ou nous retrouvâmes quelques connaissances d’amitiés chères à nos cœurs en terme d’affection.

Le lendemain nous fûmes conviés en y étant invités à la célébration d’une cérémonie d’anniversaire de naissance sur l’ex-langue de barbarie, longue presqu’île transformée tout récemment en île insulaire par une tranchée de tronçon qui vient tout juste de la séparer de la terre en la coupant du reste du fait des inondation qui menaçait dangereusement la ville , en lui faisant très peur, à cause de la montée des eaux qui croissait en s ’amplifiant.

La présentation des nouveautés de la M.G.H. eut lieu le lendemain de ces agapes festives dans la cour de plein air close et fermée du C.C.F. En effet, cette soirée de prestige organisée autours du P.I.F. et d’un cocktail n’était accessible que sur réservation et présentation d’un carton d’invitation qui permettait d’y être convié. Grâce à quelques orifices troués ménagés dans la grille en fer forgée d’acier métallisé , une partie des autochtones des habitants locaux réussit quand même à distinguer un petit aperçu du bienfait de notre entreprise en y assistant de l’œil et de loin. La table d’exposition qui était mise à notre disposition fut malheureusement trop éloignée de cette assemblée et les quelques personnes qui semblaient motivées en terme d’intérêt pour le caractère inventif de nos inventions nouvelles n’eurent pas le bras assez long pour franchir cette frontière culturelle et par là même accéder aux stylographes leur permettant de remplir les bons de commande. Notons pour finir d’en terminer que cette soirée fut agrémentée par une ambiance musicale agréable et détendue, et par quelques spécialités gastronomiques et culinaires locales fort délicieuses au goût.

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Le directeur du CCF a du mal à lire notre discours d’introduction, notament la phrase : "Nous nous en enorgueillissons"

La journée du lendemain survint le jour suivant et nous pûmes prendre un congé de repos bien mérité au bord de la piscine de natation de nos amis de cap St Louis qui nous attendaient accompagnés d’une meute de 20 langoustes grillées, de manière à finir d’en terminer de façon conviviale et bon enfant cette première semaine hebdomadaire de sept jours.

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Un gâteau fait rien que pour nous !
Ca c’était en plus des langoustes

La suite à suivre prochainement et dans bientôt.

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