19 mai 2010 : Coeff /Tablantec
Un peu d’histoire.
Avant de suivre le phraseur Seb Barrier il est bien céans de savoir où nous sommes.
Relecq-Kerhuon est une contraction de relec (relique), de ker (village) et de Huon (issu du germain). Cet ancien village de Guipavas, sur lequel le Sieur Guillaume de Cornouaille fit bâtir une chapelle vers la fin du XIème/début du XIIème, était rattaché à l’évêché du Léon. En 1896 la commune est instaurée sous son identité actuelle. Sachons que le nom Relec était son dénominatif dès 1540.
Un aveu sur cette concrétisation.
Poser un dossier et avoir l’aval du conseil régional et autres attributaires culturels n’est pas une mince affaire. Un groupe a voulu cet évènement dont Jean-Yves Le Fourn qui a concocté ceci :
Tous droits réservés pour l’auteur
Raymond Brélivet explique ce pourquoi.
Préparatifs et dires sur la cale du passage.
Avant d’aller naviguer sur les espaces infinis du joyau de la nature que représente la rade de Brest et villes consorts... revenons à la première soirée fest(yve) sur le port d’attache de la « Mari-Lizig ». Par photos et quelques mots suivons le stress évident d’une avant-première heure.
- C’est parti pour 5 jours.
- Me voilà...
- En vrai !!
- Avec lui et ma boîte sardines.
- Ca m’énerve... rudement !
- Ca tient ou quoi !!
- L’attente du public.
- C’est quoi ? Du rougail saucisse !
- La salle à manger flottante ?
- Ben nous aussi l’on joue !!
- Le blues à deux...
Le spectacle va étriller et ravir.
C’est une nouveauté, pour nous pauvres citadins non itinérants, que cette entrée musicale. Il nous paraît plus accessible et moins corrosif notre Ronan Tablantec. Pourtant, avec sa finesse d’esprit, il vous envoie des fagots de bois vert au moments les plus calculés de ses manipulations orales. Suivons cet ascensionnel verbal en appréciant l’épice.
- Dios mio !!!
Il daigne se confier, pour alimenter son carnet de voyage "lettré", afin de plonger dans la postérité !! Pendant son spectacle...
Commentaires à chaud.
- L’adjointe à la culture est ravie.
Il a bien des années à passer avec cette saprée mouette le bonimenteur des arts dans la rue.
- On va s’accrocher hein ?
Fin de la page 2.