Jeudis du Port 2008
Programmation Arts de la Rue par le Fourneau
Jeudis du Port 2008
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Comme chaque année, les spectacles de rue de cette édition 2008 sont choisis et programmés par le service Culture/Animation de la ville de Brest. Cet été, 3 spectacles font l'objet d'une collaboration avec le Centre National des Arts de la Rue, le Fourneau. Ces 3 spectacles sont des créations de l'année 2008 et sont accompagnés en création par le Fourneau. Des danseurs et des musiciens s'empareront des quais. Ces énergiques champions de Bretagne de danse traditionnelle bretonne du Cercle Eostiged Ar Stangala proposeront leurs « Courants épiques » contemporains. La danseuse et le violoniste de la compagnie Banc Public dialogueront dans un duo doux et intimiste, tandis que la Gouaille, la Diva et l'accordéoniste de la compagnie On y pens'ra demain chanteront des mots d'amour et de colère dans un étonnant mélange de répertoires lyriques et réalistes. Par ailleurs, le Fourneau accueillera chaque Jeudis sous son toit une exposition retraçant les deux décennies de la manifestation brestoise 31 juillet, 19h15 Eostiged Ar Stangala Courants épiques 7 août, 19h30 Banc Public Café de la gare 21 août, 19h45 On y pens'ra demain La Gouaille et la Diva Eostiged Ar Stangala Courants épiques
www.kendalch.com | www.lefourneau.com/courantsepiques
Banc Public Café de la gare
On y pens'ra demain La Gouaille et la Diva
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La Confédération Kendalc'h et le Centre National des Arts de la Rue, le Fourneau, se sont associés autour d'un projet insolite et ambitieux, celui de créer une passerelle entre deux pratiques artistiques : la danse traditionnelle bretonne et les Arts de la Rue. Le Cercle Eostiged Ar Stangala-Kerfeunten, champion de Bretagne en titre, s'est lancé dans une folle aventure et a créé une parade originale conçue pour l'espace public contemporain. Pour la première fois, la danse traditionnelle prend possession de la rue avec 70 danseurs et 10 musiciens !
Une femme entre dans un café de gare, seule, une valise à la main, un peu perdue mais fière d'avoir osé franchir le pas. Le train qui l'a déposée est reparti emportant son passé, ses chaînes et le regret de n'avoir pas su partir plus tôt. Maintenant, il faudrait se poser quelque part, trouver une place pour la valise et ensuite rencontrer des gens, même une seule personne, et puis on verra demain.
Un accordéoniste au frac usé, flanqué d'une goualante et d'une soprano spinto. De lui, on ne sait pas grand chose, mais il a l'air d'en savoir beaucoup qur elles. Elles ont tout vu, tout bu, tout chantu... Peut-être qu'ils sont là parce que c'est le dernier endroit où l'on chante ou pour un ultime triomphe. A travers une douzaine d'airs et de chansons des répertoires réalistes et lyriques, la compagnie nous livre des mots d'amour et de colère, qui révèlent peu à peu ces étonnants personnages.
