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Besuchen Sie die offizielle
Webseite (seit Juni 2001 geöffnet) für die letzten Schaffungen der Gesellschaft |
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CÎRQU'EN FLEX hat eine langjährige Vorgeschichte als Freilichtspektakel.
Unter verschiedenen Namen, mit teilweise verschiedenen Künstlerinnen
und somit mit verschiedenen Schwerpunkten, wurde in den letzten Jahren
Phantastisches, Spektakuläres und Ueberraschendes auf dem Boden
oder in luftiger Höhe der der wandel- und fahrbaren Bühne
gezeigt.
Seit 1996 hat Cîrqu'enflex ein Dach über dem Kopf. Drei unsichere
Freiluft-Monate wurden gegen ein sichres Ganzjahres-Zelt getauscht.
Gilles Le Leuch, Bea und Fabian Nichele Catherine Rutishauser und Caroline
Schroeck haben sich zu einer Kollektivgesellschaft zusammengeschlossen
und konnten mit der grosszügigen Unterstützung der Lotteriefonds
Baselstadt und Baselland, sowie dem "Förderverein Cîrqu'enflex"
ihren Traum vom eigenen Zelt verwirklichen.
Im Sommer 1996 wurde die Produktion "Wenn man in einen
Bach pisst.." in Frankreich und Deutschland mit grossem Erfolg gezeigt.
Das Zett mit seiner ungewohnten Architektur einer Halbkugel ist überall
auf grosses Interesse gestossen und hat als wirkungsvoller Blickfang
gedient.
Sommer '91 | Arena Amonas-Tortellonis (CH) |
Winter '91 | Schlottercircus in Basel |
Sommer '92 | Comikaze (CH) |
Winter '92 | Comikaze (FlexFlex) am Tollwood-Festival in München |
Sommer '93 | Heute Bräute mit Les Reines Prochaines (CH) |
Sommer '94 | Cîrqu'enflex "Wenn man in einen Bach pisst, weint die Muttergottes" (CH) |
Winter '95 | Cîrqu'enflex Gastspiel im Tränenpalast in Berlin |
Sommer '95 | Cîrqu'enflex "Wenn man in einen Bach pisst..." |
Sommer '96 | Cîrqu'enflex im Zelt "Wenn man in einen Bach pisst..." |
Mai - Okt '97 | Cîrqu'enflex "ZOOM" (F,D,CH) |
"Cirqu'Enflex : des bêtes de cirque" (l'article n'est plus disponible sur le site du journal) |
C'est
l'eau qui est source d'inspiration du spectacle «Quand on
pisse dans un ruisseau, la Madone pleure». Coutumes, rites,
adages, mythes, traditions et superstitions animent l'action.
Les cinq artistes hydrophiles y présentent une acrobatie
spectaculaire, un humour mordant et une poésie enjouée.
Des images se dessinent dans le ciel nocturne et des ambiances
naissent du néant comme par magie. Les quatre musiciens/musiciennes
apportent la touche musicale de ces tableaux. Des bruitages raffinés
transportent le public vers les bords de mer, au centre d'un accident
ou dans une église. Comme si temps et lieu n'existaient
pas, comme si on pouvait se moquer des lois physiques. Chaque image dans son entité est aussi partie d'un tout. Elles s'entrechoquent, se percutent, s'imbriquent, se suivent et créent une atmosphère fantastique. Des tableaux d'une poésie féerique contrastent avec des puériles poissonnailles, des moments surréalistes avec les banalités du quotidien, des danses gracieuses avec des contorsions grotesques. |
Boire, pisser, pleurer, nager, transpirer, éclabousser, se gargariser... L'eau monte. Ou baisse. Seule certitude, elle bouge. Comme bouge aussi la Madone. Ou les seaux. Ou le couple. Ou les balançoires. Ou le poisson. Ou les lavandières. Ou les têtes. Gentiment ou violemment. Ou simplement comme ça. D'en haut ou d'en bas. Et puis, parfois, l'eau ne vient pas. Comme Ca. Mais alors, tout se met à danser et l'eau revient. Pas toujours comme nous l'espérions, mais elle revient. Et ça, c'est bien. Et nous sommes heureux. Nous avons eu de la chance" |