Cîrqu'enflex light
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Le chapiteau
VORGESCHICHTE

CÎRQU'EN FLEX hat eine langjährige Vorgeschichte als Freilichtspektakel. Unter verschiedenen Namen, mit teilweise verschiedenen Künstlerinnen und somit mit verschiedenen Schwerpunkten, wurde in den letzten Jahren Phantastisches, Spektakuläres und Ueberraschendes auf dem Boden oder in luftiger Höhe der der wandel- und fahrbaren Bühne gezeigt.
Seit 1996 hat Cîrqu'enflex ein Dach über dem Kopf. Drei unsichere Freiluft-Monate wurden gegen ein sichres Ganzjahres-Zelt getauscht. Gilles Le Leuch, Bea und Fabian Nichele Catherine Rutishauser und Caroline Schroeck haben sich zu einer Kollektivgesellschaft zusammengeschlossen und konnten mit der grosszügigen Unterstützung der Lotteriefonds Baselstadt und Baselland, sowie dem "Förderverein Cîrqu'enflex"  ihren Traum vom eigenen Zelt verwirklichen.
Im Sommer 1996 wurde die Produktion "Wenn man in einen Bach pisst.." in Frankreich und Deutschland mit grossem Erfolg gezeigt. Das Zett mit seiner ungewohnten Architektur einer Halbkugel ist überall auf grosses Interesse gestossen und hat als wirkungsvoller Blickfang gedient.
 
 
 
Sommer '91 Arena Amonas-Tortellonis (CH)
Winter '91 Schlottercircus in Basel 
Sommer '92 Comikaze (CH)
Winter '92 Comikaze (FlexFlex) am Tollwood-Festival in München
Sommer '93 Heute Bräute mit Les Reines Prochaines (CH)
Sommer '94 Cîrqu'enflex "Wenn man in einen Bach pisst, weint die Muttergottes" (CH)
Winter '95 Cîrqu'enflex Gastspiel im Tränenpalast in Berlin 
Sommer '95 Cîrqu'enflex "Wenn man in einen Bach pisst..."
Sommer '96 Cîrqu'enflex im Zelt "Wenn man in einen Bach pisst..."
Mai - Okt '97 Cîrqu'enflex "ZOOM" (F,D,CH)


Création 97 (au Fourneau)
"ZOOM"

Zoom (le diabolo)Dans le microcosme de Cîrqu'enflex on se pose des questions sur la vie, sans forcement y répondre de manière habituelle. Chez eux, on attache plus d'importance au chemin qu'au but. De ce credo nait, dans un espace aussi étrange que ses habitants, un rêve vivant, sans faste ni paillettes. La quête de l'apesanteur est aussi ancienne que le cirque. Y trouverait-on la quatrième dimension?
Quatre personnages y crapahutent apparemment sans dessus-dessous: chacun d'entre eux a son langage propre, sa propre motivation, sa propre logique... L'apparition d'un 5ème personnage - mais qui est le 5ème ? - va redistribuer les cartes. Les histoires se recoupent, les personnages se rencontrent et font un bout de chemin ensemble. Comme si un étranger pouvait en révéler quatre autres...
La recherche d'une issue se transforme en recherche du sens de la vie, et la question posée par la solution est étourdissante. Lorsque cirque et comédie se percutent, se forme un kaléidoscope de scènes, numéros et rencontres, dans un enchevêtrement aussi fin et complexe que l'accroche des trapèzes, de la roue, des haubans et des poulies. Impénétrable, inexcitable, mais complètement efficace. II n'existe pas d'issue à ce monde... ou peut-être si? On peut se laisser séduire, et partir ensemble à la recherche.
 

"Cirqu'Enflex : des bêtes de cirque" 
(l'article n'est plus disponible sur le site du journal)

 Les musiciens de Cîrqu'enflex enregistrent la musique du spectacle "Zoom". Le CD sortira pour Noël, pré-achat possible au prix de 100 F, port compris. Adresser chèques à l'ordre de Gilles Le Leuch au Fourneau qui transmettra.

"Quand on pisse dans un ruisseau, la Madone pleure"

Si on pisse dans un ruisseau, la Madone pleureC'est l'eau qui est source d'inspiration du spectacle «Quand on pisse dans un ruisseau, la Madone pleure». Coutumes, rites, adages, mythes, traditions et superstitions animent l'action. Les cinq artistes hydrophiles y présentent une acrobatie spectaculaire, un humour mordant et une poésie enjouée. Des images se dessinent dans le ciel nocturne et des ambiances naissent du néant comme par magie. Les quatre musiciens/musiciennes apportent la touche musicale de ces tableaux. Des bruitages raffinés transportent le public vers les bords de mer, au centre d'un accident ou dans une église. Comme si temps et lieu n'existaient pas, comme si on pouvait se moquer des lois physiques. 
Chaque image dans son entité est aussi partie d'un tout. Elles s'entrechoquent, se percutent, s'imbriquent, se suivent et créent une atmosphère fantastique. Des tableaux d'une poésie féerique contrastent avec des puériles poissonnailles, des moments surréalistes avec les banalités du quotidien, des danses gracieuses avec des contorsions grotesques.
 
La poésie
"Tout est sec. Encore. Au fond, l'eau est partout. Si nous regardons autour de nous. 
Boire, pisser, pleurer, nager, transpirer, éclabousser, se gargariser... 
L'eau monte. Ou baisse. Seule certitude, elle bouge. Comme bouge aussi la Madone. Ou les seaux. Ou le couple. Ou les balançoires. Ou le poisson. Ou les lavandières. Ou les têtes. Gentiment ou violemment. Ou simplement comme ça. D'en haut ou d'en bas. Et puis, parfois, l'eau ne vient pas. Comme Ca. Mais alors, tout se met à danser et l'eau revient. Pas toujours comme nous l'espérions, mais elle revient. Et ça, c'est bien. Et nous sommes heureux. Nous avons eu de la chance"

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