Mercredi 02 août

A l'image du partenaire du jour, Coop Breizh, qui propose un plateau musical chaque mercredi, et de la soirée électronique Anticlockwart, organisée par WART au parc des expos, ce premier mercredi d'août mélange rythmes endiablés et théâtre "d'intérieur", le tout dans la rue...

La compagnie Hydragon

Vous êtes tous habillés de blanc... Qu'est-ce quecela signifie pour vous ?

Ce spectacle là, Croch'pieds, est un peu lié aux personnages de la compagnie quand on l'a démarré en 99. On est parti un peu sur l'idée d'être des troubadours, mais hors du temps, c'est à dire qu'on ne voulait pas nous situer, si on venait du passé ou de l'avenir. En fait, le blanc c'est un peu accidentel... Au départ, on était parti sur des couleurs claires, pour travailler les costumes avec des couleurs pastels. Mais en fait, on a jamais vraiment réussi à trouver quelque chose de sympa avec les couleurs, c'était trop compliqué. Donc du coup, c'est resté blanc.

D'où vous viennent vos influences musicale ?

C'est un peu un mélange de plein de styles, c'est Laurent qui fait tout le travail de composition, sachant qu'il y a quelques reprises aussi. Mais c'est beaucoup influencé des musiques de l'Est. On est sorti un peu des rythmes binaires classiques : y a des trucs à cinq temps, des 6/8, des 7/8... C'est un peu musique du monde. Bon, et puis après il y a la contrainte des instruments : il y a un sax, il y a trois percussions (woodblock, derbooka et cuillères) et après il y a un banjo et deux cuivres.

Hydragon, c'est la rencontre de musiciens et de comédiens ?

Oui, mais sachant que la comédie, elle n'est que visuelle puisqu'on ne parle pas. Le seul langage, c'est la musique et aprés les gestes sont aussi un langage si on veut. Mais après on a essayé de travailler la discipline d'improvisation, en se basant un peu sur l'improvisation théâtrale, au moins dans la technique mais en enlevant la parole. C'est à dire qu'il y a des techniques pour travailler ça, comment créer un cadre, comment tu évolues dedans, comment tu tiens compte des autres, et puis comment t'embarques aussi le public pour les amener dans une aventure si il y a moyen, ce qui est la clef du travail...

Jean Marie

Dès 20h03, l'association MX Skate Board
propose une démo et une initiation au skate
sous les halles sur un air de hip hop...

>> www.mxskateboard.com

Sur la place Allende,
Morgane occupe le plateau Coop Breizh.

"Morgan songe musical d’une nuit étoilée" "Songe musical d'une nuit d'été" (ces articles ne sont plus disponibles sur le site du journal)

A 21h03, nous faisons connaissance avec Laura Hertz,
personnage décalé, essayant tant bien que mal
de s'adapter au monde d'aujourd'hui.

Hydragon (Croch'pieds)

Six musiciens déambulant dans les rues sur une musique latine.

Pour le batême de la Place du Chateau,
Amoros et Augustin ont offert au public
un voyage au coeur du monde de l'image.

Le cinéma, la peinture, le théâtre d'ombre...
tout a été exploré sur le thèmes de la transmission de l'image.

"Toiles et étoiles" "Le royaume de l’image" (ces articles ne sont plus disponibles sur le site du journal)

Les Dérézo manipulent les objets, le maquillage, la danse...
Ils ne font pas "du théâtre de rue, mais du théâtre dans la rue !"

"Quand la métaphysique bouge" "Dérézo : quand la métaphysique bouge" (ces articles ne sont plus disponibles sur le site du journal)

FAR. Tout l'art d'une soirée dans la rue
MX Skateboard. Ils ont tout cassé !
Hydragon. L'hydre à six têtes fait de la poésie
Morgan. Songe musical d'une nuit d'été
Laura Hertz. Un monde sans pitié
360° à l'ombre. Toiles et étoiles
Brèves. Au coeur du FAR
FAR. Instantanés
Dérezo. Quand la métaphysique bouge

(Morlaix, 03-04/08/00)

"Du FAR plein les oreilles !"
"Morgan songe musical d’une nuit étoilée"
"Les skaters s’envoient en l’air..."
"Au cœur du FAR"
"Quand Hydragon sort ses griffes"
"«Amoros et Augustin» : le royaume de l’image"
"Tonynara : des Lyonnais bien dans leur peau de celtes"
"Dérézo : quand la métaphysique bouge"
(ces articles ne sont plus disponibles sur le site du journal)