On en rêvait, ils l’ont fait :
Nettoyer le quai de la douane de ses bagnoles pour mieux déployer ses terrasses, et les peupler de cagoles sur pilotis, serveurs cocaïnés et autres fondus de la mobylette. Tout ce petit monde pète joyeusement les plombs, et on se prend à rêver d’un pastis sur le vieux port, histoire de raccourcir l’hiver... où quand la cité phocéenne croise la cité du ponant, plus chaudement rivée au pied de ses bars.
Même notre marin national en perd le nord...