Les objectifs de la rencontre
- Faire un état des lieux des expériences de formation,
qualification, transmission - menées ou vécues - par des
professionnels des arts de la rue,
- Faire le point sur les projets ou propositions de formation, qualification,
transmission, émanant de professionnels des arts de la rue,
- Esquisser éventuellement des coopérations et/ou un
soutien pour développer ces projets ou propositions.
Y
participaient, à l'invitation du Fourneau
René Marion - Marilyne Thomas (Cognac)
Michel Lagouche - Xavier Bonizec (Quimper)
Isabelle Calvet (Cie OFF)
Daniel Andrieu (Sotteville-lès-Rouen)
Luc Perrot (Cercle de la Litote)
Jean-Raymond Jacob (Cie Oposito)
Bernard Colin (Cie Tuchenn)
Jean Chamaillé - Manu Baron (Cie Jo Bithume)
René Paréja (La Famille Magnifique)
Thierry Lucas, Christophe Le Bideau, Jean-Michel Rivoalen, techniciens
intermittents du spectacle
Michèle Bosseur, Claude Morizur, Yffic Cloarec, Fred Floc'h, Armelle
Milin (Le Fourneau)
Au fil de cette journée de travail, Franceline Spielmann, chargée
de mission par la DMDTS, est intervenue pour aider à la formulation
des questionnements.

Ambiance générale
- Cette journée passionnante a donné lieu à des
échanges passionnés. Les 5 heures d'échanges ont
fait l'objet d'enregistrement que le Fourneau tient à la disposition
des participants.
- La qualité de cette rencontre tenait sans nul doute à
la diversité des statuts des intervenants (les paroles d'artistes
ont croisé celles des techniciens du spectacle, des directeurs
de lieux de fabrique, des 15 ans de métiers et des emplois-jeunes
).
Ce
qui se dégage de cette journée
Les professionnels présents sont convaincus du renforcement nécessaire
de l'économie des arts de la rue ("former des cadres c'est
bien, à condition de pouvoir les employer et les retenir dans nos
structures")
Leurs propositions se situent entre :
- la perspective de construire
un système de transmission plutôt qu'une usine à
gaz
- et l'urgence qui consiste à
développer les leviers existants que sont les compagnies et les
lieux de fabrique (= viviers de compétences et de ressources).
A ce propos, l'inventaire des créations artistiques récentes
ayant bénéficié des lieux de fabrique pourrait
être instructif.
|