L’habitacle et son vaisseau spatial
1ère partie : Seules les photos disent la vérité. Les quatre premières sont authentifiées d’origine. Nous vous les présentons en exclusivité.. C’est en visitant le Musée de l’air et de l’espace à Saint-Hilaire que nos amis d’outre-atlantique ont obtenu le prêt de ses pièces rares exposées ici.
L’habitacle suggestif venu de "Titan", son vaisseau spatial et le poste de pilotage de ce dernier. Peut-être flous ces clichés... mais à l’époque c’était du très bon !
A demain pour la suite...
La première trilogie
Moulin Cabot va emmener le public dans les entresorts forains déjantés des 2 Rien Merci.
- Préparatifs dans la yourte Moulin Cabot
Suivons maintenant...
Les invités au langage direct.
La secrétaire générale du Channel diseuse de la 6ème phrase du jour. Facilité du langage et plutôt à l’aise dans cet exercice.
- Léna dit bien
Puis voilà...
Marie Belleville administratrice qui nous confie les tâches liées à sa fonction. Solide et souriante comme toutes les jeunes femmes de l’endroit.
- Marie administratrice active
Paroles et dires...
Deux témoignages d’une lycéenne et d’un collégien l nous confirment que les échanges avec les fondoukistes et les artistes sont porteurs. La culture en sort grandie.
- Le courage de dire
- Il est en 4ème
Ceux qui savent puisqu’ils y vivent...
Moustache (Charles), Bernadette et Laurent disent que le Channel est leur univers. Chaque jour de l’année les voient venir dans les 14 000 mètres carrés du site. Un premier rendez-vous a eu lieu cet après-midi. D’autres suivront... Ils ont tellement à dire.
- Moustache
- Laurent et Moustache
- Bernadette
- Laurent
« Merci à vous braves gens du pays de Calais venant respirer une liberté de vie au fondouk bab el Channel. »
- Du belvédère vers l’espace de vie
Impromptu
Mon cœur s’est serré quand le cri, dans la nuit, a pulvérisé mes espoirs. Le vent a fouetté ma nuque... Mes mains se sont crispées de rage de ne pouvoir n’être qu’un homme désespéré incapable de se révolter. A trois heures du matin le réveil m’a indiqué que le cauchemar était passé et que je pouvais me reposer ! « »
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